Sarah BENHADIA – Orient-émois
De l’avion on ne voit… rien. Aucune agglomération qui se détache ni entrelacs de lignes asphaltées, seules des étendues rocailleuses. Même décor à la sortie de l’aéroport, en route vers Amman sous 35° en avril. Les premiers panneaux indiquent les frontières saoudienne et irakienne, sur la droite, la Palestine. Le trajet permet de prendre la…